Transcription : Présentation des montres Tom Tom GPS par Mohamed Serbouti :

Maxence Rigottier : dans cette nouvelle vidéo, on va voir ensemble pourquoi utiliser les montres Tom Tom dans vos entraînements de course à pied.

Je suis aujourd’hui avec Mohamed Serbouti. Si vous ne connaissez pas Mohamed, tu as été champion de France de 10 km, de semi-marathon. Tu es un coureur d’élite. Aujourd’hui, je voudrais que tu nous expliques les avantages, les fonctionnalités de la montre Tom Tom GPS, pourquoi tu l’utilises personnellement et pour quel type de coureurs est destiné ce type de montre.

Salut Mohamed.

Mohamed Serbouti : bonjour

Maxence Rigottier : est-ce que tu peux nous expliquer pourquoi tu utilises les montres Tom Tom dans tes entraînements ?

Mohamed Serbouti : d’une autre, c’est utile parce que ça permet de s’entraîner intelligemment, de ne pas brûler des étapes, et surtout de rester régulier, de bien cibler ses entraînements.

Quand vous suivez un plan d’entraînement, le but du jeu est de le faire correctement, de ne pas se griller, de chercher l’efficacité et la surcompensation pour être prêt le jour J pour l’échéance. L’avantage de la montre Tom Tom est qu’elle a le cardiofréquencemètre intégré directement dessus. C’est ce petit capteur qui est ici.

Ça permet d’avoir ses pulsations cardiaques sans être gêné avec la ceinture. La ceinture c’est bien et mal. Je l’ai vu à plusieurs reprises, avec une ceinture, quand vous faites une sortie longue et une séance qui dure une heure, vous transpirez, et ça se décale, descend, ça glisse. On est gêné et en plein effort, s’il faut remettre la ceinture, c’est un peu ennuyant parce qu’on perd le rythme et on est perturbé dans ses allures.

Grâce à cette montre qui a le cardio intégré, on ne se pose plus cette question. On reste vraiment concentré sur sa session de préparation. En plus, on peut la caler par rapport à l’interval training si on fait une sortie longue. Je vous donne un exemple. Il y a une semaine, j’ai fait une sortie longue d’une heure et quart, et après j’avais 20 minutes un peu plus vite. Je suis parti sur un footing sur 50 minutes à 15 à l’heure et après, il fallait que je passe pendant 20 minutes à 3,20, je l’ai programmée, je me suis calé à 17km/h et tout le temps j’ai été régulier, j’avais juste à jeter un ou deux coups d’œil. Ça me donnait ces allures-là et ça me permettait de rester régulier. Je ne me grillais pas et je faisais ma séance correctement, mon travail était fait.

Maxence Rigottier : quels sont les types de séances et d’entraînements que tu mets en place à travers cette montre ?

Mohamed Serbouti : ce sont les sorties longues, les fartleks et surtout les séances VMA. Je fais des 200 ou des 30-30, je programme les 30-30 et j’ai fait 20 fois 200 et tous les 30 secondes elle sonne.

Maxence Rigottier : 30 secondes rapides, tu as un petit bip et 30 secondes lentes tu as un nouveau bip.

Mohamed Serbouti : oui c’est ça. Et en plus, elle a un avantage pour les gens qui s’entraînent tardivement parce qu’ils travaillent à côté, ou qui s’entraînent en ville ou de nuit : on n’entend pas toujours bien le bip bip quand on est en ville, la montre a un vibreur. On peut programmer des 30-30 et à chaque fois que ça vibre, 30 secondes lent, 30 secondes vite, ça vibre à chaque fois, et comme ça, vous faites votre séance sans vous poser de question, sans chercher à regarder, à rallumer ou chercher un endroit éclairé.

Maxence Rigottier : on ressent bien la vibration ?

Mohamed Serbouti : oui on la ressent bien. C’est très puissant, ça envoie comme une espèce de décharge, c’est pour cela qu’elle a vraiment des qualités. Quand les gens regardent Tom Tom, ils pensent que c’est un gadget, mais c’est faux. Ça fait 4 mois que j’utilise, j’en suis content et j’aurais du mal à m’en passer parce qu’elle m’aide vraiment dans les séances.

Maxence Rigottier : avant tu utilisais d’autres montres ? Comment tu procédais ?

Mohamed Serbouti : j’utilisais d’autres montres, mais elles n’avaient pas l’avantage d’avoir les pulsations cardiaques. Aujourd’hui, il faut regarder ce qui convient. Des gens travaillent, d’autres pas, il y a les circonstances. Certaines personnes peuvent s’entraîner en plein jour, d’autres le soir. Il faut tenir compte de tous ces paramètres et la montre Tom Tom permet de répondre à tous ces paramètres-là.

Maxence Rigottier : tu évoquais juste avant cette tendance de lire sur le plan et l’aspect gadget, pour quel type de coureurs s’adresse cette montre ? Est-ce que c’est pour le grand public ? Est-ce que c’est plus pour des coureurs de route, de trail ?

Mohamed Serbouti : je dirais des coureurs déjà habitués qui s’entraînent 3 ou 4 fois par semaine. C’est plus pour ce type de coureurs. Je ne vois pas la nécessité de cette montre pour un coureur qui ne s’entraîne que deux fois par semaine, il peut avoir une montre normale, simple qui lui conviendrait.

Un coureur qui s’entraîne 3 ou 4 fois par semaine est sur un objectif de préparer un marathon ou un semi-marathon, ce qu’il fait qu’il a besoin de précisions au niveau de ses allures. Quand on commence à cibler des allures et à préparer en essayant de les respecter, ça permet aussi d’apprendre à se connaître, à se maîtriser dans les compétition, à respecter les allures, à ne plus stresser.

La plupart des coureurs s’emballent, ils ne se connaissent pas, ils se mettent dans le rouge dès le départ et ensuite, cela a des conséquences, soit on ne finit pas, on finit mal ou encore on ne finit pas, on abandonne parce qu’on a eu une mauvaise gestion. Grâce à cette montre Tom Tom, ça permet de s’habituer à l’entraînement. Il faut utiliser l’entraînement pour s’habituer, apprendre à se connaître. A force de travailler avec une montre comme Tom Tom qui a toutes ses données, ses paramètres, qui permet de donner des allures précises, ça permet de s’habituer à repérer psychologiquement ses allures. Une fois que vous avez la foulée, que vous êtes parti, vous allez arriver à mémoriser l’allure, ce qui fait qu’en compétition, vous allez la reproduire, la ressentir. Et grâce à cette montre. C’est pour cela que c’est important.

Maxence Rigottier : toi, ça t’a permis t’intégrer un certain type d’entraînement et de mémoriser tes allures. Ensuite, de retransmettre ces allures en compétition le jour J.

Maxence Rigottier : semi: tout à fait. Pour vous donner une anecdote, un jour j’avais la montre Tom Tom et je n’avais pas fait attention au niveau de la batterie. Elle n’était pas bien chargée.

Maxence Rigottier : quelle est l’autonomie de la batterie ?

Mohamed Serbouti : j’arrive à faire 2 heures, 3 heures d’entraînement. Elle tient sans problème. Ce jour-là, je n’ai pas fait attention. Je me suis entraîné 3 jours avec et la batterie s’est déchargée au bout de 45 minutes de footing. Et là, j’étais en train de faire un fartlek sur des allures. L’avantage, à force de m’entraîner avec, j’arrivais à avoir la même allure parce que j’étais sur la course, j’avais des repères et j’arrivais à garder la même allure sans la montre. Je me suis habitué à suivre ces allures, j’étais entre 17,5 et 18 km/h et j’arrivais à garder cette cadence sur un parcours de 2,6 km. C’est pour cela que je dis que la montre est importante car elle permet de connaître ses allures. Ça m’a permis de dire que je peux maîtriser mon allure, d’avoir une allure de 15 km/h ou 18 km/h et la ressentir sans la montre.

Maxence Rigottier : parfait. J’espère que cette petite vidéo vous a plu. N’oubliez pas de la partager sur Facebook à tous vos amis coureurs. Si vous utilisez les montres Tom Tom, n’hésitez pas à le dire dans les commentaires, juste en dessous. Si vous avez des questions, n’hésitez également à les poser dans les commentaires. Merci d’avoir suivi cette vidéo et à bientôt pour d’autres conseils en course à pied. Bon run.

Mohamed Serbouti : je vous conseille, je vous le dis, servez-vous de la montre, c’est important si vous voulez préparer un marathon, être opérationnel, assurer votre course et vous faire plaisir, utilisez la montre, ça vous aidera.

Maxence Rigottier : semi-marathon, marathon, foncez et ça sera parfait pour vous de vous connaître à 100% via cette montre.

Mohamed Serbouti : au revoir et bon courage pour vos échéances.

Maxence Rigottier : à bientôt.